Publié le 29 juillet 2019
Diane Tell, auteure-compositrice-interprète des titres inoubliables Si j’étais un homme, Faire à nouveau connaissance ou La Légende de Jimmy, présente ses plus belles chansons sur scène en solo acoustique ou accompagnée. Son universalité vous semble intime ou personnelle, ses chansons sont incarnées, habitées par son interprète. Quand on l’écoute en acoustique, avec une simple guitare et sa voix de velours, toujours aussi bouleversante, chacune de ses chansons vous saisit. Diane vit son art avec passion et sincérité.
UNE
Chaque chanson a son histoire, mais, dans son cas, toutes ou presque naissent dans la solitude de l’auteur compositeur, une guitare dans les bras. Et là, dans une suite d’allers-retours entre rimes, rythmes, souvenirs, rêves, mélodies et harmonies, elles remontent des profondeurs de l’âme. Seule en scène, toutes les chansons qu’elle propose ont cette forme originelle. Qu’elles soient d’hier ou d’aujourd’hui, écrites ou choisies par elle, Diane Tell les chante comme aux premiers jours de leur destin.
EN DUO AVEC ROBBIE McINTOSH
Le guitariste anglais Robbie McIntosh a participé à l’enregistrement des albums « Désir plaisir soupir » et « Popeline ». Ce musicien exceptionnel, longtemps membre des groupes The Pretenders et The New Paul McCartney Band, prend plaisir à jouer en duo le répertoire de Diane depuis leur première rencontre il y a plus de 20 ans. Leur complicité sur scène est irrésistible.
Écoutez ici un extrait d’une heure du concert enregistré au Baladin de Saviez le 30 août 2017 par la RTS
Ou le concert entier sur SoundCloud
À CORDES PERDUES
Superbe spectacle intimiste tout en nuances avec le talentueux quatuor à cordes Mommies On The Run, du chef pianiste et arrangeur Vincent Réhel et de Serge Fortin auteur-compositeur et co-réalisateur des chansons de ses 3 plus récents albums, Rideaux Ouverts, Une et Passé simple le Best of.
RÉSIDENCE AVEC ORCHESTRE – SOUS LA DIRECTION DE CHRISTOPHE ITHURRITZE
« Moment de douceur, de musicalité et de partage en compagnie de Diane Tell. Tour à tour seule à la guitare, accompagnée d’un quatuor de professeurs ou avec les élèves du conservatoire (plus de 40 musiciens), la chanteuse québécoise se voulait femme accomplie. Jazz woman hors pair, facile dans la qualité des arrangements, Diane Tell était en parfaite symbiose avec ses camarades d’un soir. Une soirée sans fausse note, devant un public conquis qui n’aura éclipsé aucun talent. » D’après un article publié au Puy en Velay en mars 2015
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