LE JOURNAL DE MONTREAL – FRANCOFOLIES DE MONTREAL – JUIN 2012

Publié le 8 juin 2012

francofolies

5 questions à Diane Tell

Véronique Lauzon – Photos : D.Tell

Publié le jeudi 07 juin 2012

À la fin de l’année dernière, Diane Tell a offert un quatorzième album, Rideaux ouverts. Conçu de A à Z au Québec, c’est un retour pour la grande chanteuse qui habite en France depuis les années 80. Ce soir, l’auteure de Si j’étais un homme est absolument ravie de présenter un spectacle sur la grande scène extérieure des FrancoFolies.

Question : À quoi ressemble le spectacle que vous allez nous offrir ?

Réponse : Il y a beaucoup de créativité dans ce spectacle. Ce n’est pas juste un spectacle où je présente mes nouvelles chansons ou un spectacle où je fais toutes mes chansons connues. Non, nous, on a réussi à être très créatif !

Question : Vous avez décidé d’inviter Marie Pierre Arthur, Anodajay, Olaf Hund et Serge Fortin. Pourquoi eux ?

Réponse : J’aime bien inviter des gens que je connais et que j’aime vraiment. C’est le cas pour ce spectacle. Avec chacun d’eux, je vais chanter deux chansons et ils vont participer à d’autres moments dans le spectacle.

Question : Vous êtes heureuse d’être sur la Grande Scène des FrancoFolies ?

Réponse : Au Québec, ce sera le plus gros show de ma vie. On a déjà fait des gros shows, mais comme ça, dehors, gratuit, devant tout le monde, en plein centre-ville, c’est une première pour moi. Je suis fière ! Je suis contente !

Question : Quel est votre rituel avant un spectacle ?

Réponse : Beaucoup de répétitions. Comme dans ce cas-ci, nous avons répété trois jours complets et la veille du spectacle, lorsque c’est possible, on prend une journée tranquille et j’essaie de ne pas parler. Comme aujourd’hui, il y a juste à vous que je vais parler. (rires)

Question : Depuis deux ans, nous vous voyons beaucoup plus au Québec. Pourquoi ce choix ?

Réponse : Le fait d’avoir enregistré un album ici, ça m’a permis de venir beaucoup. Bien sûr, je vis toujours en Europe, mais je suis souvent ici et ça me fait du bien. Avec le temps qui passe, on a l’impression que nos racines nous rappellent à l’ordre. Je pense que les gens sont contents de me voir plus souvent. En tout cas, je l’espère.

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