BANG BANG – Diane Tell présente Olaf Hund… FRANCOS DE MONTRÉAL JUIN 2012

Publié le 12 juin 2012

Through the eye of Mister Zen

Diane Tell présente Olaf Hund…

Par Toma Iczkovits – 9 juin 2012

C’était au tour de Diane Tell, hier soir, de tenir son propre grand événement sur la scène principale des Francofolies. Qu’on aime ou qu’on n’aime pas le répertoire populaire de la chanteuse qui célèbre ses 35 ans de carrière, on doit admettre qu’elle sait s’entourer des meilleurs artistes émergents.

Au cours des derniers temps, Diane Tell a multiplié les collaborations musicales, prouvant maintes fois sa capacité à se renouveler et à s’adapter aux nouvelles tendances.

Parmi ses collaborations les plus improbables, la chanson « Jamais su » un morceau pop qui mélange délicieusement sa voix douce à la poésie rythmée du rappeur québécois Anodajay. Steve Jolin, de son vrai nom, a été le premier à monter sur scène en tant qu’artiste-invité pour reprendre « Les Cinéma Bars » aux côtés de Diane Tell, avant d’interpréter « Jamais su » .

Andodajay en duo avec Diane Tell

Après Serge Fortin pour la mielleuse chanson « J’pense è toi comme je t’aime » et Marie-Pier Arthur pour le grand hit des années 90 « La légende de Jimmy », c’est Olaf Hund, ce mystérieux DJ parisien de musique post-electronique qui est monté derrière ses platines pour nous livrer un remix explosif de « Faire à nouveau connaissance », une chanson plutôt pop, originalement.

Ce dernier, assez peu connu au Québec, a déjà beaucoup tourné en Europe, cumulant plusieurs disques et projets musicaux pour court-métrages, cirques et défilés de haute couture.

Pour ma part, je l’ai découvert avec la chanson satyrique « Nicolas Police » et j’ai halluciné en entendant l’album instrumental « Kitch Kitch » sorti en 2001, avant de m’intéresser à l’ensemble de son travail. Quelque part entre le classique, le punk et l’électronique, difficile de classer l’artiste anticonformiste.

En novembre 2011, Olaf a lancé « Music Is Dead Opus 1.0 », le premier d’une série de EP, contenant six pièces électroniques complètement disjonctées, dont « We Love electronic » une chanson dont le vidéoclip a pas mal circulé dans les réseaux sociaux au cours des derniers mois.

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